Un retour en terres cherbourgeoises

Depuis quelques jours j'ai fait une apparition qui s'annoncera aussi brève que le soleil cherbourgois. Mais je suis là et bien là, je commence à restituer pièces après pièces les éléments de ma soutenance afin de pouvoir valider cette année forte en émotions. Quoi de mieux pour clore en beauté qu'une semaine auprès de mes amis, entre ciel bleu et petit chat, je suis aux anges.

Rapport de stage, l'Angleterre, le vin, les yachts toussa

Comme je vous l'ai dit, je suis en pleine rédaction de mémoire d'après stage effectué au pays de la gelée et tout. Parce que dans la vie, je fais des études de commerce international, j'ai fait un stage pas du tout sexy, ni glamour dans une entreprise qui approvisionne les super yachts. Je sens que là, j'vous ai vendu du rêve non?

Bon comme moi, ça me fait pas palpiter grand chose ce rapport et que dès que j'ouvre Word j'ai envie de m'ouvrir les veines avec ma cuillère à café, je procrastine sans procrastiner: je dessine de petites illustrations pour rendre mon rapport sur-chiant juste chiant. Et comme je fais rien d'autre de ma vie en ce moment, je les poste par ici, comme si du coup, en plus, ça faisait un article intéressant. L.O.L.

Cagliari Part II

La jolie vue depuis notre terrasse d'amûr

Chia- des plages magnifiques et une eau... Si claire et si chaude. La perfection.

Le joli carrelage dont je suis tombée amoureuse..

Et voilà la Deuxième partie avec un grand D de mon récit de voyage cagliarien! Je m'en retourne à mes stratégies marketing, forces de Porter et compagnie parce que sans rigoler, dans une semaine j'ai soutenance de mémoire. Hinhin, dur!

Cagliari Part I

Après 3200km de vélo, 568L de sueur et trois tendinites des deux genoux, nous sommes arrivés au sommet de la première montagne (la seule et unique que nous avons d'ailleurs gravit à la force de nos mollets, ayant plutôt envie de mourir (moi) que de continuer le chemin -gnii), la vue était juste superbe, le calme incroyable. Cette sensation de dominer l'espace qui t'entoure, d'être seuls au milieu de cette immensité, c'est grisant.

Comme ç'aurait été bête de se taper l'ascension du presque kilimanjaro sans se baigner, puisque je tiens à préciser que c'était l'objectif final... On a trouvé en cours de route et surtout en fin de journée, une calanque belle à se damner, pour plonger dans une eau délicieuse à la lumière du soleil qui descend... Incroyable.

Et le lendemain, arrivée en centre ville, reconnexion avec l'environnement urbain

Et comme on a une petite passion pour les beaux couchers de soleil...

Et voilà, c'était Cagliari, première partie.